Discussion:Quel autre autre nom pour la CNV
Sommaire
Pourquoi la page a disparu
Hello Aurélia,
Peux tu me dire où est passé tout le texte de la page initiale ?
J'ai vu le premier jet mais là je ne vois plus que celle ci mais qu'en allant dans l'historique...
Bises
--Jean-François H. 5 mai 2011 à 19:52 (CEST)
Elle nous à donné la raison dans le résumé de sa modif :-)
- « projet en attente de validation par les membres du groupe »
--Dieudonné 5 mai 2011 à 21:25 (CEST)
Pourquoi des liens hyper texte ?
Hello,
Lorsque je lis l'article, je suis surpris par l'utilisation de liens hypertextes qui apparaissent en rouge puisque sans page associée. Est ce la volonté de créer des pages ou simplement la volonté d'accentuer les mots concernés ? Si c'est le second cas, je t'invite à utiliser cette écriture {{Rouge|Intention}} qui donnera Intention, même résultat sans diriger vers des pages vierges.
Si par contre, je vais trop vite et que ces pages vont vivre, cette question tombera toute seule !
Bises
--Jean-François H. 10 mai 2011 à 11:54 (CEST)
Coucou,
Tu as raison, je voulais les mettre en avant mais je n'ai pas fait gaffe que cela aller nous diriger sur d'autres pages. Je rectifie de suite ;-)
Des bisous--Aurelia 10 mai 2011 à 12:22 (CEST)
Suggestions complémentaires
que diriez-vous d'utiliser plutôt des titres de niveau 2 ?
Je vous motre ce que ça donne et si ça ne vous plait pas je re-mettrais comme avant.
Au sujet de la page associée intitulée "Proposition de questionnaire" je la renomme en accord avec la proposition sur la page Aide:Choisir un titre de page.
--Dieudonné 10 mai 2011 à 12:48 (CEST)
Coucou Dieudonné,
Pour moi c'est très clair, j'aime beaucoup et ca me va bien si cela reste comme cela ;-) Merki à toi --Aurelia 10 mai 2011 à 13:32 (CEST)
Cool !
par contre, l'expression "pages filles" vient du fait que par la structure de leur nom contenant un "/" elles contiennent automatiquement en leur haut un lien vers leur "page mère". Est-ce qu'en retirant un "l" tu pensais au terme anglais "files", "fichiers" ?
On pourrait aussi appeler ça des "sous-pages", mais je trouvais ça moins joli ;-)
--Dieudonné 10 mai 2011 à 13:48 (CEST)
Ah oui, c'est cela je pensais au terme anglais, car il est peu courant (à mes yeux) de voir noté "pages filles", mais où sont les garçons ? Bon en même temps, je ne suis pas arrêtée là-dessus, tout me va bien ;-) --Aurelia 10 mai 2011 à 14:50 (CEST)
Violence et énergie vitale
La violence procède de l’énergie vitale, dont elle est une forme dégradée, brutale et inconsciente.
Mais le risque me paraît réel, en étant dans le déni de la violence, de se couper de l’énergie vitale, de « jeter le bébé avec l’eau du bain » (expression horrible mais ici pertinente) ; et de créer un monde confinant à la bulle stérile et à la mièvrerie.
Car il n’y a pas de sexualité, pas de créativité artistique ou encore de performance sportive sans énergie vitale. Si je suis coupé de mon énergie vitale, je ne peux être pleinement en contact avec moi-même. « Nous ne sommes pas vrais tant que nous nous gardons, seul l’éclair qui nous embrase tout entier révèle la chair à l’esprit, et l’esprit à la chair » disait S. Zweig (M’éloignes-tu...). « Seul qui se perd entier est donné à lui-même. Seulement si tu t’enflammes, tu connaîtras le monde au plus profond de toi » (Ouvre-toi...). C’est pourquoi « Avant de parvenir à la lumière, l’homme doit traverser sa propre violence » (A. Jodorowski, La Tricherie sacrée).
L’ancrage dans l’énergie vitale correspondrait au hara japonais, célébré notamment par K. G. Dürckheim. Sans cet ancrage, le cœur est en proie aux sensibleries, et la pensée ergote dans des bavardages vains. Or voilà un jugement, quant à une dérive de la pratique de la CNV, qui a déjà été exprimé ici ou là.
Ainsi, de mon point de vue, arriver au résultat de la non-violence a plus de chances de se faire en conscientisant la violence et en la transformant, au service de la vie, plutôt qu’en la niant.
-- Ajouté par Dilant, le 29 mai 2011 à 17:13
L'idée me plaît !
Merci Aurélia (et le groupe de travail associé of course) pour cette proposition. A la lecture de cette page, je suis plein d'espoir car il est important pour moi que les choses puissent évoluer en gardant une cohérence globale.
Je remarque qu'arriver avec une proposition de sensibilisation à la communication nonviolente dans les écoles peut vite faire lever le bouclier du "ah mais nous on est pas violents !", et faire fermer la porte avant qu'on ait pu y glisser le pied.. Et l'expression "communication bienveillante" bien qu'atténuée, peut recevoir la réaction : "vous sous-entendez qu'on est pas bienveillants ?"
Je vous rejoins sur l'idée d'éviter de choisir un nom dualiste, pour éviter un positionnement "bien-mal". Il me simple important que le nom apporte une clarté que communiquer et être "girafe" n'est pas mieux que communiquer ou être "chacal" mais que, si l'objectif que je me donne est d'avoir une relation harmonieuse à moi-même et à l'autre, alors "girafe" est fonctionnelle là où chacal ne l'est pas. Et cet aspect de fonctionnalité enlève tout jugement de valeur. Jugement de valeur, qui, je pense, peut se retrouver dans "consciente", car l'autre serait alors inconscient dans sa façon de communiquer. Même si je comprends le sens que ce mot à pour les utilisateurs de la CNV, je pense qu'il reste une interprétation de la posture intérieure de tout un chacun. Là où l'aspect fonctionnel n'est que pure constat : je regarde mon objectif, je regarde le résultat -> ça fonctionne ou non.
De plus, le processus CNV est très clair sur un point : la demande doit être dans l'action concrète, positive, négociable, et dans le présent. Et dire ce qu'on ne veut pas, c'est pas très CNV.. donc le nom en lui-même est en porte-à-faux de ce que le processus préconise. Si congruence nous voulons, cette réflexion sur le changement de nom ET son aboutissement concret me semblent fondamentaux.
Je m'interroge sur le cadre du questionnaire et je te livre mes interrogations :
1) Par qui doit-il être validé avant diffusion ?
2) A qui souhaites-tu le diffuser et sur une période de combien de temps ?
3) Certaines personnes auront-elles plus de poids que d'autres quant à la décision de changer de nom, et sur le choix du nom en lui-même ?
4) Pas vraiment une question : il me semble que le salon Zen, avec une grande quantité de passage sur le stand, peut vraiment être l'occasion de recueillir des avis, de pratiquants et aussi de gens qui n'y connaissent rien, justement pour la fameuse question du "quand j'entends CNV, qu'est-ce que ça me fait ?"
5) Qui s'occuperait de la diffusion et du traitement statistique ?
Questions en lien indirect :
6) Qui dit changement de nom dit nouveau logo, quelqu'un dans l'ACNV a-t-il les compétences pour s'occuper de cela ?
7) Je pense à plusieurs implications du changement de nom : notamment tous les livres/DVD estampillés CNV. Comment pour le néophyte, établir le lien entre un livre de CNV et le nouveau nom qui serait choisi ?
En tout cas, j'adore l'idée et me sens vraiment enthousiaste à l'idée de pouvoir contribuer à ce projet si le besoin s'en faire sentir de votre coté.
Christophe