Dominic Barter/Sous-titres vidéo 1
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Révision datée du 10 novembre 2009 à 16:35 par Dieudo (discussion | contributions) (propositions alternatives)
- Interview avec Dominic Barter
- Qu’est ce qui te motive à partager le travail que tu fais?
- Je crois que, depuis quelques années,
- beaucoup de pays et de communautés ont découvert
- que leurs structures actuelles pour gérer les conflits
- que ce soit dans le système judiciaire,
- ou dans les écoles, dans les communautés locales ou en famille
- ne fonctionnent pas aussi bien qu’ils aimeraient.
- Ils ne renforcent pas assez le sens de communauté
- Les coûts humains accroissent,
- Et les gens ne se sentent pas davantage en sécurité dans leur communauté.
- Partout où les gens ressentent ceci, je reçois des invitations,
- Et les gens expérimentent les pratiques réparatrices.
- Donc je me réjouis de venir en Allemagne,
- Il y a de plus en plus de gens là-bas qui cherchent
- des alternatives non-violentes
- aux façons dont nous répondons actuellement
- à la criminalité et aux conflits.
- Comment un homme du Nord de Londres en arrive à travailler au Brésil, avec la justice réparatrice ?
- Je suis allé au Brésil pour la première fois en 1992
- Et j’étais tout de suite frappé par les mêmes choses qui
- Frappent Preque toute personne arrivant au Brésil pour la première fois
- Par la beauté incroyable de la nature,
- Par la manière dont les gens là-bas célèbrent la vie,
- Mais aussi par la disparité entre ceux qui ont accès à la richesse et ceux qui n’ont pas accès
- Et par le très grand degré de tensions et de violence sociales que j’ai rencontré pendant que j’étais là-bas.
- C’était très dur de vivre là et d’accepter
- que les choses étaient ainsi
- et ne pouvaient pas changer.
- Donc, peu à peu, avec le passage des mois,
- j’ai commencé à chercher différentes façons de
- m’instruire sur cette situation afin de peut-être apprendre
- comment je pouvais contribuer.
- Pendant plusieurs visites
- dans les années ’90,
- j’ai commencé à avoir des contacts avec les gens
- et à connecter différents projets dans les bidonvilles
- et à m’éduquer sur cette réalité sociale