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Modifications
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Ne participer que s’il y a intérêt.
§ Créer un cercle le plus vaste possible, mais suffisamment contenant, circonscrit par les participants assis.
§ Prendre un temps de centrage avec le groupe.
§ Inviter chacun à se relier à ses besoins et à clarifier ses demandesPrendre un temps de centrage avec le groupe.
§ Poser la règle que tous les mouvements se font en silence. Inviter à ne parler qu’en cas de nécessité.
§ Rappeler qu’il est important de ne pas réagir avec la tête, mais de laisser le corps Inviter chacun à se positionner de lui-même (inviter chacun relier à faire confiance ses besoins et à l’intelligence de clarifier ses pieds). Pour cela, une certaine lenteur est nécessairedemandes.
§ Proposer à une première personne de rentrer dans le cercle, de formuler une demande et d’en motiver le sens.
§ Toutes Poser la règle que tous les personnes intéressées (mais pas l’animateur de l’organisation – puisqu’il tient l’énergie du cercle) se lèvent et mouvements se placent dans l’espace font en fonction silence. Inviter à ne parler qu’en cas de l’intérêt qu’elles éprouvent pour la demandenécessité.
§ Tant Rappeler qu’il reste des personnes assisesest important de ne pas réagir avec la tête, l’animateur les invite mais de laisser le corps se positionner de lui-même (inviter chacun à se lever et faire confiance à formuler l’intelligence de ses pieds). Pour cela, une nouvelle demandecertaine lenteur est nécessaire.
§ A chaque fois, l’ensemble des personnes debout Proposer à une première personne de rentrer dans le cercle modifient leurs positionnements en fonction de l’évolution , de leurs besoins formuler une demande et de leurs intérêtsd’en motiver le sens.
§ S’il reste des Toutes les personnes assises qui n’ont intéressées (mais pas exprimé l’animateur de souhait d’atelier l’organisation – puisqu’il tient l’énergie du cercle) se lèvent et qui manifestent non verbalement un malaise, l’animateur s’assure auprès d’elles qu’elles se retrouvent placent dans au moins une des propositions qui ont été faitesl’espace en fonction de l’intérêt qu’elles éprouvent pour la demande.
§ Les Tant qu’il reste des personnes hésitantes sont invitées assises, l’animateur les invite à continuer se lever et à se clarifierformuler une nouvelle demande.
§ Quand toutes les A chaque fois, l’ensemble des personnes décidées sont debout, l’animateur vérifie s’il reste des demandes d’atelierdans le cercle modifient leurs positionnements en fonction de l’évolution de leurs besoins et de leurs intérêts.
§ Il obtient S’il reste des personnes assises qui n’ont pas exprimé de souhait d’atelier et qui manifestent non verbalement un premier état de la situation qu’il va confronter aux ressources d’animation à dispositionmalaise, l’animateur s’assure auprès d’elles qu’elles se retrouvent dans au moins une des propositions qui ont été faites.
§ Il regarde ensuite les limites des ressources disponibles :Les personnes hésitantes sont invitées à continuer à se clarifier.
o En nombre minimum et maximum de participantsQuand toutes les personnes décidées sont debout, l’animateur vérifie s’il reste des demandes d’atelier.
o En espaces correspondant Il obtient un premier état de la situation qu’il va confronter aux demandes ?ressources d’animation à disposition.
o Il regarde ensuite les limites des ressources disponibles :1. En nombre minimum et maximum de participants2. En espaces correspondant aux demandes ?3. En temps à disposition ?
§ A partir de ces constats, il va proposer des alternatives créatives aux personnes dont les ateliers ne sont pas possibles dans l’instant.
§ Par exemple : « Voudriez-vous voir si d’autres personnes avaient le même intérêt que vous pour la prochaine séance? » ou « Auriez-vous une idée de changement qui permettrait de vivre votre atelier avec le nombre que vous êtes ? »
§ Particulièrement à ce stade, l’animateur veille à éviter les apartés et les questionnements individuels. Il recadre et il répond en mettant l’attention sur la conscience du groupe.
§ Si la situation reste bloquée ou que l’attention remonte dans la tête, proposer éventuellement une minute de recentrage ou une pause (en invitant les participants à négocier pendant ce temps).
§ Quand le nombre le plus juste possible d’ateliers a émergé, l’animateur vérifie si quelqu’un est mal à l’aise avec l’état de la situation.
§ Avant de terminer, il précise le lieu et la durée de chaque atelier, ainsi que le moment du retour en grand groupe.
v Exercices pour exploiter les malentendus, les prises de tête et les conflits : o ''En cas de longs temps d’analyse ou de « parler sur la CNV »''
§ Au signal sonore, chacun essaie de définir la qualité de vie qu’il ressent à l’intérieur de lui (l’ennui est un des indicateurs les plus fiables du « parler sur »).
§ Limiter le temps d’intervention - Au signal sonore, chacun essaie de chacun définir la qualité de vie qu’il ressent à un maximum l’intérieur de trois phrases lui (ou deux ou unel’ennui est un des indicateurs les plus fiables du « parler sur »).
o ''En cas de désaccord entre deux participants''
§ Un troisième participant assure une médiation informelle.
§ Deux autres participants s’expriment à leurs places avec - Un troisième participant assure une grande vigilance au respect du processus. Les protagonistes les approuvent ou les corrigentmédiation informelle.
o En cas de malentendu entre deux participants
§ - Leur demander de changer de chaise et d’exprimer les sentiments et les besoins de leur vis-à-vis. ''En cas de désaccord dans le groupe sur une règle, un horaire ou tout autre point''
o En cas de désaccord dans le groupe sur une règle, un horaire ou tout autre point
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Cette règle a pour corollaire la suivante :
'''Définir un gardien du rythme'''
Le fait d’avoir choisi un gardien du temps peut susciter une accélération du rythme. Or, quand il y a accélération, cela amène l’attention au niveau du mental et risque de couper les participants du lien avec leurs ressentis.
Possibilité de s’arrêter à tout moment.
Possibilité de participer ou non.
Chacun se charge d’écouter et de trouver la place qui est la plus appropriée pour lui.
Corollairement, les personnes présentes commencent à l’heure prévue.
Ne participer que s’il y a intérêt.
'''Engagement'''
S’impliquer émotionnellement.
'''Confiance'''
La formule «cabaret» peut être intéressante : les «pour» se mettent ensemble, les «contre» aussi, chacun des sous-groupes délègue une personne qui les représente. Les délégués se mettent au centre et de temps en temps se concertent avec leur groupe.
'''Le sondage dans l’espace'''
Procédure type pour choisir plusieurs situations à travailler en même temps:
Si cette période est vécue ainsi, un niveau supplémentaire de confiance est atteint dans le groupe et chacun aura pu trouver sa juste place.
'''Exercices pour exploiter les malentendus, les prises de tête et les conflits :'''
Au signal sonore, chacun essaie de clarifier ses besoins. Quand quelqu’un y est arrivé, il lève la main. La discussion ne reprend que quand tout le monde a la main levée.
Variantes :
- Limiter le temps d’intervention de chacun à un maximum de trois phrases (ou deux ou une).
Les inviter à exprimer au moins un besoin et une demande à chacune de leur intervention.
Variante :
- Deux autres participants s’expriment à leurs places avec une grande vigilance au respect du processus. Les protagonistes les approuvent ou les corrigent.
''En cas de malentendu entre deux participants''
Leur demander qu’ils reformulent les paroles de leur vis-à-vis et qu’ils attendent pour lui répondre que celui-ci a validé la reformulation.
Variante :
Fixer un temps pendant lequel il est interdit de parler de l’objet du conflit, mais seulement des besoins derrière.
