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Quel autre autre nom pour la CNV

57 octets ajoutés, 22 septembre 2011 à 13:59
Inconvénients
'''En étant dans le déni de la violence, le risque nous paraît réel de se couper de la réalité et de l’énergie vitale''', de « jeter le bébé avec l’eau du bain » (expression horrible mais ici pertinente) ; et de créer un monde confinant à la bulle stérile et à la mièvrerie.
Il n’y a pas de sexualité ou de créativité artistique sans cette énergie vitale<ref>« Comme A. Breton, je crois que ‘la beauté sera convulsive ou ne sera pas’ [...]. L’art met en jeu les forces présentes dans l’univers. Et la nature n’est pas doucereuse. [...] Il faut intégrer les forces violentes de la nature et les canaliser. » (A. Jodorowski, ''La tricherie sacrée'', p. 56, 64). A. Jodorowski, La tricherie sacrée, p. 66.</ref>. Coupé d’elle, je ne peux être pleinement moi-même. « Nous ne sommes pas vrais tant que nous nous gardons, seul l’éclair qui nous embrase tout entier révèle la chair à l’esprit, et l’esprit à la chair » disait S. Zweig (M’éloignes-tu...). « Seul qui se perd entier est donné à lui-même. Seulement si tu t’enflammes, tu connaîtras le monde au plus profond de toi » (Ouvre-toi...). C’est pourquoi « Avant de parvenir à la lumière, l’homme doit traverser sa propre violence <ref>A. Jodorowski, La tricherie sacrée, p. 66.</ref>. ».
L’ancrage dans l’énergie vitale correspondrait au hara japonais, célébré notamment par K. G. Dürckheim. Sans cet ancrage, le cœur est en proie aux sensibleries, et la pensée ergote dans des bavardages vains. Or voilà un jugement, quant à une dérive de la pratique de la CNV, qui a déjà été exprimé ici ou là.
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== Notes et références ==
{{Références}}
== Procéder à une enquête ==
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