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o Dans un premier temps, lâcher les objectifs et les stratégies, aller nulle part, afin de donner leur place à l’expression des besoins. Plus je suis vide de pensées, plus je peux me relier à des besoins profonds et je vais être créatif dans mes demandes.
o Eventuellement poser Dans un cadre sécurisant. Par exemple quepremier temps, lâcher les objectifs et les stratégies, si d’ici une heure le consensus n’est pas atteintaller nulle part, nous passerons afin de donner leur place à un vote l’expression des besoins. Plus je suis vide de pensées, plus je peux me relier à la majorité des deux tiers des votantsbesoins profonds et je vais être créatif dans mes demandes.
o Si Eventuellement poser un cadre sécurisant. Par exemple que, si d’ici une heure le groupe traverse consensus n’est pas atteint, nous passerons à un moment de confusion ou de tension, l’animateur peut rappeler l’intérêt pour l’apprentissage de vote à la CNV de ces momentsmajorité des deux tiers des votants.
o Il peut rappeler aussi notre co-responsabilité dans toute tension du groupe, notre pouvoir d’influence mutuelle (par exemple avec notre tranquillité) et la possibilité pour chacun de revenir à la bienveillance, cette base de la CNV.
o La bienveillance Si le groupe traverse un moment de confusion ou de tension, l’animateur peut se travailler en atelier. Elle se muscle et c’est fondamental, car elle est une ressource précieuse dans un groupe. Mais elle demande une capacité rappeler l’intérêt pour l’apprentissage de la CNV de lâcher priseces moments.
o Dans les ateliers, il est intéressant de travailler aussi l’auto-empathie, afin d’augmenter la capacité d’autonomie de chacun.
o Il peut rappeler aussi notre co-responsabilité dans toute tension du groupe, notre pouvoir d’influence mutuelle (par exemple avec notre tranquillité) et la possibilité pour chacun de revenir à la bienveillance, cette base de la CNV. La bienveillance peut se travailler en atelier. Elle se muscle et c’est fondamental, car elle est une ressource précieuse dans un groupe. Mais elle demande une capacité de lâcher prise. Dans les ateliers, il est intéressant de travailler aussi l’auto-empathie, afin d’augmenter la capacité d’autonomie de chacun. Si l’agitation est trop grande dans le groupe, l’animateur peut proposer une stratégie pour lâcher un peu de la tension du système : faire un exercice corporel, aller prendre la pause ou autre.
o En ayant conscience de mon besoin d’empathie et en essayant de le gérer moi-même.
o En ayant conscience de mon besoin d’empathie et en essayant de le gérer moi-même. En prenant le temps de me clarifier avant de prendre la parole. En parlant à partir de moi et en précisant ce que je souhaite, plutôt que ce que je ne veux pas. En assumant mes jugements, plutôt que de les projeter sur les autres. En faisant une demande concrète et positive, et en précisant de qui je veux quoi. En prenant en compte la demande exprimée par la personne précédente.
o En parlant à partir de moi et en précisant ce reformulant une personne que je souhaitej’ai mal comprise, plutôt que ce que je ne veux pasqu’en réagissant.
o En assumant mes jugements, plutôt que de les projeter sur les autres.
o En faisant une demande concrète et positive, et en précisant de qui je veux quoirestant dans le fil du sujet.
o En prenant en compte la demande exprimée par la personne précédente.
o En reformulant une personne que j’ai mal comprise, plutôt qu’en réagissantgardant la conscience des besoins du groupe.
o En restant dans le fil du sujet.
o En gardant la conscience des besoins du groupe.
o Celui qui est devant pense à une situation neutre (il évoque un personnage de BD).
o Puis il pense à une situation précise.
o Il laisse venir le sentiment que cela génère.
o Il descend dans son besoin.
o A chaque étape, celui qui est derrière teste la stabilité de celui qui fait l’exercice.
o Les observateurs montrent avec la main où se trouve celui qui exprime son sujet de préoccupation (niveaux de la tête, du cœur, du ventre) :
o Se rappeler quels sentiments je ressentais alors.
o Se relier aux sentiments présents maintenant.
o Puis, les laisser évoluer, sans chercher à les contrôler.
o Comparer les sentiments du passé et du présent.
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''Progression :'' reformuler régulièrement cette personne dans mes dialogues avec elle, en essayant d’y mettre le plus de naturel possible.
1. Directif (l’autorité, le chef, l’arbitre, le directeur prend la décision)
2. Démocratique (le groupe le plus important emporte un vote)
3. Participatif (recherche d’un accord, avec le recours à un vote en cas de blocage, basé souvent sur une majorité conséquente)
4. Consensuel (recherche de la satisfaction des besoins mutuels, avec la possibilité pour une seule personne de bloquer le processus de prise décision).
Dans un groupe où il n’y a pas de formateur expérimenté, la présence d’un animateur est précieuse. L’autogestion demande des compétences généralement trop ardues pour des personnes qui sont là avant tout pour apprendre la CNV.
'''Quelques indications pour faciliter la recherche du consensus'''
'''Comment chacune et chacun peut soutenir le groupe ?'''
'''Les différents rôles de l’animation'''
11. Gardien de la production, réalisation
'''Les marqueurs de la parole'''
Pour faire mieux saisir les enjeux de la prise de parole dans un groupe, il est intéressant de travailler avec des marqueurs de la parole (ou médiateurs).
En utiliser trois amène le plus de fluidité :
1. Un pour l’animateur : le groupe lui a donné le droit à la parole qui est ainsi marqué par le médiateur de la parole, sinon son intervention peut être considérée comme une prise de pouvoir.
Il est au service du groupe, il reformule. Ce médiateur peut circuler entre les co- animateurs, il a une fonction de facilitation.
2. Un autre qui est donné à celui qui s’exprime.
3. Un dernier qui est utilisé en cas d’urgence :
1) Se mettre par deux, l’un devant l’autre
2) Une personne prend un sujet de préoccupation et l’exprime à un vis-à-vis qui lui donne une écoute empathique.
· Pensée
· Sentiment
· Besoin
== Les variations non verbales ==
''Ton''
· Le débit de la parole est rapide, avec des phases d’accélération.
· Le corps a tendance à se pencher vers l’avant.
'''Quand l’attention se porte au niveau des sentiments'''
''Ton''
· Le débit de la parole devient plus fluide, avec des périodes de ralentissements et d’accélérations marquées.
· Des temps de silence apparaissent.
''Expression corporelle''
· Les yeux deviennent plus humides, avec parfois la venue de larmes.
· Des sensations de froid ou de chaleur peuvent apparaître.
'''Quand l’attention se porte au niveau des besoins'''
''Ton''
· Ralentissement du débit de la parole.
· Timbre plus posé et plus calme.
''Expression corporelle''
Prendre une situation passée (d’hier ou d’il y a vingt ans).
