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Discussion:ACNV/Statuts - Travaux en cours

4 551 octets ajoutés, 3 septembre 2010 à 16:41
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Mon seul ajout serait de remplacer "membres actifs" (qui peut avoir plusieurs sens) par "membres en règle" (qui n'en n'a qu'un)."
François : "Autour de l'adhésion :
Une question qui a été posée à diverses occasions par certaines personnes (dont Dieudonné, il me semble) : C'est celle du lien entre adhésion et paiement d'une cotisation. Pour moi, il y a deux aspects. Un aspect minimal d'un geste (financier) qui signifie l'adhésion et puis financièrement ensuite un éventuel engagement à soutenir les actions de l'association à diverses hauteurs. J'ai toujours été surpris qu'un montant d'adhésion soit donné explicitement dans les statuts. Il y aurait à préciser quelle instance de décision fixe l'aspect minimal de l'adhésion (caractère symbolique) et quelle instance de décision fixe les propositions financières de soutien. Ou être créatif sur la façon d'adhérer (mais je n'ai pas d'idée autre).
Adhésion des associations : La question du "local". Les statuts prévoient l'adhésion d'associations. Je ne crois pas que cette adhésion possible ait eu un effet. Par contre, Rhône-Alpes a créé une association (avec l'accord et le soutien du national) avec une particularité très importante : Les membres de l'ACNV en RA font partie de l'association ACNV-RA et les membres de l'ACNV-RA sont membres de l'ACNV. La cotisation (par une décision de cercleFrance) est actuellement coupée en deux (10€ est reversé par adhérent à RA). Autres cas : Des petites associations CNV se créent dans des villes ou départements (souvent pour bénéficier de locaux, subventions, par dynamique d'un groupe). Il faudrait à mon sens revoir cette question d'adhésion d'associations pour surtout clarifier notre structuration locale et créer un lien clair avec ce type d'associations CNV, et les associations CNV régionales (si l'on veut poursuivre dans le modèle RA). C'est un chantier passionnant à mon sens."
(3) Sociocratie : la volonté est qu'elle fasse partie intégrale de l'ACNV, donc nous visons à ça; reste à s'entendre sur la meilleure formulation possible...
(4) Pouvoirs, Procuration, Délégation : un consensus semble se faire sur limiter les pouvoirs uniquement à établir le quorum, et en aucun cas pour voter ou prendre position sur des questions, orientation ou projet; cela pour trois raisons : 1° les pouvoirs de vote sont incompatibles avec le mode sociocratique; 2° l'utilisation des pouvoirs n'est pas permis par le libellé actuel des statuts et 3° on cherche à éviter les difficultés présentées lors de l'AG 2010."
 
[1, 2] François : "Autour du mode d'élection des membres du CA en AG : La démarche
sociocratique me paraît difficile exhaustivement. D'abord, elle ne fait pas apparaître de candidats déclarés. Donc que faire d'un appel de candidatures avant AG ? Elle privilégie les présents. Que deviennent les personnes qui le jour de l'AG exceptionnellement ne sont pas là mais souhaitent s'investir à ce niveau ? Elle demande un temps qui me semble proportionnel au nombre de présents. Donc, si une AG a 100 ou 200 personnes, que faire ? Bien sûr, ce n'est pas le cas aujourd'hui, mais prévoir des outils inadaptés au nombre, c'est toujours se fixer une barrière mentale qui empêche alors la dynamique de rassemblement plus large. Moi, j'aimerais imaginer ce que nous ferions si nous avions 1000 adhérents. Comment les associer aux décisions sur les personnes. Prévoir des modalités par correspondance ? Démocratiques ? Sociocratiques avec quelles adaptations ? J'aimerais que nous adaptions des statuts avec l'image d'une association à plus de 1000 membres.
Autour des instances de pilotage : CA et Cercle France.
Dans l'idée sociocratique, il y a cette idée de cercles hierarchiquement
situés, qui s'intersectent de manière à ce que les personnes concernées
par les décisions prises puissent être présentes avec la même voix
d'objection et de proposition que tout autre membre du cercle (Ce qui
relativise le poids de la hierarchie dans la prise de décision et
équilibre les décisions dans le sens d'un intérêt partagé des acteurs).
Si nous voulons définir le cercle France avec une certaine précision, il
nous faut en même temps revisiter les cercles qui sont : cercles
régionaux (il y en a deux effectifs en ce moment), cercle des formateurs
(que les formateurs ne sont pas bien favorables à considérer
aujourd'hui), cercle des transmetteurs (qui de fait n'a pas d'existence
réelle - une réunion en deux ans). Le chantier, c'est une structuration
simple et claire et fonctionnelle, qui permette que le cercle France ait
une définition claire dans les statuts. Peut-être faut-il sortir du
langage des cercles et en mettre un autre, peut-être avoir des éléments
de souplesse. L'idée est d'anticiper ce qui peut structurer simplement
et durablement (pour que ce ne soit pas un éternel chantier où passe
l'énergie du CA). L'idée est d'associer d'autres membres à ceux du CA
pour avoir des décisions prises avec les acteurs qui les mettent en
oeuvrent ou sont dans l'espace d'application.
L'idée du cercle France était aussi une idée de structuration
francophone. Il peut être motivant de croire que notre réflexion sur les
statuts intéressera nos voisins !
"
==8 : Réunion du conseil d'administration==
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