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Repères 2 pour l'animation des groupes de pratique

18 octets ajoutés, 22 mai 2011 à 09:17
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''Variantes :''
Même exercice de base, mais l’accompagnant se relie à ses sensations à l’arrière de son corps, ou dans l’espace derrière son corps, et essaie de conserver cette attention.
 
 
L’animateur écoute, constate qu’elle pèse sur les épaules du demandeur, qui reste accroché aux problèmes qu’elle lui pose. Les conditions sont remplies pour proposer un jeu de rôle.
 
Il y a toujours deux possibilités de jeu de rôle :
- Extérieur. En l’occurrence avec la belle-mère du demandeur, incarnée par l’animateur.
 
- Intérieur. Pour cet exemple, avec un jeu entre une part qui aimerait se débarrasser de « l’emmerdeuse » et une autre qui est culpabilisée par cette idée.
'''Le positionnement dans l’espace'''
o Une personne décrit une situation qui la touche. Ensuite, elle évoque un à un les différentes composantes de ce système. Au fur et à mesure, celui qui le sent va se placer dans le cercle en tant que la partie évoquée.  Quand toutes les parties sont posées, elles interagissent en silence lentement entre elles.  Partager à la fin sur ce qui s’est passé. ''Variante :'' Les volontaires essaient à tour de rôle de placer dans l’espace les éléments de ce système. A la fin, la personne concernée fait des retours sur les différentes tentatives. 
o Au fur et à mesure, celui qui le sent va se placer dans le cercle en tant que la partie évoquée. '''Se relier aux ressentis d’autrui'''
o Quand toutes les parties sont posées, elles interagissent en silence lentement entre ellesUne personne décrit une situation qui la touche.
o Partager à la fin sur ce qui s’est passéLe groupe définit ensemble une de ses parts intérieures.
Variante :· Les volontaires essaient Chacun se relie à tour de rôle de placer dans l’espace cette part et décrit les éléments de ce système. A la finressentis corporels qui lui viennent, la personne concernée fait des retours sur puis les différentes tentativesressentis émotionnels et enfin les ressentis besoinnels.
Ø Se relier aux ressentis d’autrui
o Une personne décrit une situation qui la touche.
o Le groupe définit ensemble une de ses parts intérieures.'''Ressentir l’urgence du besoin d’empathie'''
o Chacun se relie à cette part et décrit les ressentis corporels Choisir un sujet qui lui viennent, puis les ressentis émotionnels et enfin les ressentis besoinnelstouche trois personnes.
Elles se mettent debout face à face et elles échangent entre elles.
Ø Ressentir l’urgence du A tour de rôle, chacun expérimente de donner de l’empathie à celle qui en a le plus besoin d’empathieo Choisir un sujet qui touche trois personnesà chaque instant.
o Elles se mettent debout face à face et elles échangent entre elles.
o A tour de rôle, chacun expérimente de donner de l’empathie à celle qui en a le plus besoin à chaque instant.'''L’action juste'''
Ø L’action justeo Chacun prend un temps de centrage, puis se relie au besoin de l’instant.
o Il laisse venir l’action qu’il est juste d’accomplir pour les cinq prochaines minutes.
Pour démarrer le processus d’auto-empathie, je me relie à un espace en moi de tranquillité.
o Cette tranquillité est toujours potentiellement présente, quel que soit mon degré apparent d’agitation. La difficulté est de créer ou de retrouver l’accès à cette part, la plus intime de moi-même.
o Cette tranquillité est toujours potentiellement présente, quel que soit mon degré apparent d’agitation. La disponibilité difficulté est de créer ou de retrouver l’accès à cette part, la part écoutante va permettre l’émergence des parts écoutées. L’ouverture plus intime de cet espace ne demande pas forcément beaucoup de temps. L’automoi-empathie minute (ou seconde) peut se faire tout au long de la journéemême.
o Quand la part écoutante est vraiment sans intention et sans but, son ouverture va permettre que je me laisse faire par l’émergence des sentiments et des besoins. S’ils me surprennent dans l’instant, c’est un indice que mon attention est juste.
o Il est important La disponibilité de la part écoutante va permettre l’émergence des parts écoutées. L’ouverture de cet espace ne demande pas chercher les sentiments et les besoins, parce qu’eux me cherchent déjàforcément beaucoup de temps. Je n’ai qu’à être disponible et ils surgissent. Plus je les laisse venir, plus des besoins profonds émergentL’auto-empathie minute (ou seconde) peut se faire tout au long de la journée.
o De même que pour une écoute empathique de l’autre, la qualité d’écoute de moi implique un certain détachement vis-à-vis de ce qui émerge. Ce recul permet d’aller au fond des choses.
o Si Quand la part écoutante se est vraiment sans intention et sans but, son ouverture va permettre que je me laisse trop contaminer faire par la tension de la part écoutéel’émergence des sentiments et des besoins. S’ils me surprennent dans l’instant, il n’y a plus d’écoute possible. Il faut donc conserver c’est un certain recul : j’accueille la tension, mais je ne m’identifie pas à la tension, elle reste l’objet de indice que mon écouteattention est juste.
o Mais, attention, si je veux être détaché, je vais créer une nouvelle tension. Ce sera par l’accueil de ce vouloir que je me reconnecterai à mon détachement.
o Il n’y a aucune hiérarchie à l’intérieur des est important de pas chercher les sentimentset les besoins, pas plus que de sentiments « positifs » ou «négatifs »parce qu’eux me cherchent déjà. La joie n’est pas mieux que la tristesseJe n’ai qu’à être disponible et ils surgissent. La peur n’a pas moins de sens que la tranquillitéPlus je les laisse venir, plus des besoins profonds émergent.
o Muscler notre écoute, c’est développer une équanimité envers toutes les émotions et tous les sentiments. Cela permet aux sens et aux spécificités de chaque sentiment d’émerger.
o L’aboutissement De même que pour une écoute empathique de tout processus l’autre, la qualité d’écoute se produit quand j’accède organiquement de moi implique un certain détachement vis-à la tranquillité et à la célébration. Je peux vérifier que je l’ai atteint, quand j’ai spontanément l’élan -vis de dire merci à mon stimulusce qui émerge. Je n’arriverai pas à cet état tant que je chercherai à y parvenirCe recul permet d’aller au fond des choses.
o Par contre, j’y accède en accueillant ce qui est à chaque instant. Je retrouve ainsi mon état naturel, la sérénité, quand j’ai pris le temps d’accueillir tout ce qui est agité en moi.
Si la part écoutante se laisse trop contaminer par la tension de la part écoutée, il n’y a plus d’écoute possible. Il faut donc conserver un certain recul : j’accueille la tension, mais je ne m’identifie pas à la tension, elle reste l’objet de mon écoute.
v Exercices pour travailler l’auto-empathie :
Ø Ancrer la tranquillité en soiMais, attention, si je veux être détaché, je vais créer une nouvelle tension.o Chacun prend un temps pour conscientiser les procédures qui l’aident Ce sera par l’accueil de ce vouloir que je me reconnecterai à être dans la tranquillité, puis il les partage en grand groupemon détachement.
o Ensuite, chacun teste pour lui-même celles qu’il apprécie le plus, en plusieurs temps de cinq minutes.
Ø Rester avec ses Il n’y a aucune hiérarchie à l’intérieur des sentimentso Chacun se centre, puis se relie à une situation stimulantepas plus que de sentiments « positifs » ou «négatifs ». La joie n’est pas mieux que la tristesse. La peur n’a pas moins de sens que la tranquillité.
o Laisser venir un sentiment et, pendant cinq minutes, accueillir ce qui se passe si j’essaie de rester avec l’évolution de ce sentiment.
Ø Etre présent là où je suiso L’animateur dispose trois chaisesMuscler notre écoute, c’est développer une équanimité envers toutes les unes derrière émotions et tous les autres, pour chaque écoutantsentiments. Celle devant représente l’objet Cela permet aux sens et aux spécificités de l’écoute, la suivante celle de la part écoutante, la troisième celle qui accueille avec bienveillance les difficultés à s’écouterchaque sentiment d’émerger.
o Chacun essaie de vivre un temps d’auto-empathie en se déplaçant d’une chaise à l’autre, suivant ce qui survient.
o Le but est d’être attentif L’aboutissement de tout processus d’écoute se produit quand j’accède organiquement à ce qui se passe en soi la tranquillité et à la célébration. Je peux vérifier que je l’ai atteint, quand j’ai spontanément l’élan de dire merci à mon stimulus. Je n’arriverai pas d’atteindre un résultat au niveau de l’écouteà cet état tant que je chercherai à y parvenir.
Ø Initiation à la piste de marelle
o Poser par terre trois panneaux marqués respectivement : « pensées », « sentiments » et « besoins ».
o Prendre une situation et se poser sur Par contre, j’y accède en accueillant ce qui est à chaque instant. Je retrouve ainsi mon état naturel, la sérénité, quand j’ai pris le panneau temps d’accueillir tout ce qui correspond à notre cheminement intérieurest agité en moi.
o ''Exercices pour travailler l’auto-empathie :'' '''Ancrer la tranquillité en soi''' Chacun prend un temps pour conscientiser les procédures qui l’aident à être dans la tranquillité, puis il les partage en grand groupe. Ensuite, chacun teste pour lui-même celles qu’il apprécie le plus, en plusieurs temps de cinq minutes.  '''Rester avec ses sentiments''' Chacun se centre, puis se relie à une situation stimulante. Laisser venir un sentiment et, pendant cinq minutes, accueillir ce qui se passe si j’essaie de rester avec l’évolution de ce sentiment.  '''Etre présent là où je suis''' L’animateur dispose trois chaises, les unes derrière les autres, pour chaque écoutant. Celle devant représente l’objet de l’écoute, la suivante celle de la part écoutante, la troisième celle qui accueille avec bienveillance les difficultés à s’écouter. Chacun essaie de vivre un temps d’auto-empathie en se déplaçant d’une chaise à l’autre, suivant ce qui survient. Le but est d’être attentif à ce qui se passe en soi et pas d’atteindre un résultat au niveau de l’écoute.  '''Initiation à la piste de marelle''' Poser par terre trois panneaux marqués respectivement : « pensées », « sentiments » et « besoins ». Prendre une situation et se poser sur le panneau qui correspond à notre cheminement intérieur.  ''Progressions :''· Ajouter un panneau marqué « centrage / détachement ».
Commencer le travail d’écoute en restant au moins deux minutes sur ce panneau. Y revenir chaque fois que j’ai l’impression de perdre mon centrage ou mon détachement.
· Ajouter un panneau marqué « résistances / défenses ».
Y aller quand j’ai la sensation de bloquer, d’être dans la confusion ou toute autre manifestation d’une résistance intérieure.
Mon authenticité part du lien entre ce que je ressens et ce que j’exprime.
o Cela me demande d’investir de l’attention pour être, autant que possible, au clair sur ce que j’éprouve. Mon authenticité est donc la continuation naturelle de mon auto-empathie.
o Cela me demande d’investir de l’attention pour être, autant que possible, au clair sur ce que j’éprouve. Mon authenticité est donc la continuation naturelle de mon auto-empathie. Etre dans l’authenticité demande à la fois :
· un lâcher prise sur ce que je dis (afin d’atteindre une force de spontanéité)
· et un ralentissement, pour me relier à mes ressentis (sinon mon lâcher m’amènera souvent à exprimer mes conditionnements mentaux).
o L’authenticité acquiert une force quand elle dépasse le choix d’une formulation et qu’elle nous permet d’incarner dans l’instant la justesse de nos ressentis intérieurs. Je peux dire dix fois la même phrase et exprimer dix réalités différentes.
o Mon corps parle à travers mon expression faciale, ma position corporelle, ma tension intérieure, la tonalité de ma voix, etc.
o L’authenticité devient une hygiène relationnelle quand je m’approprie mon « je », en évitant de projeter sur l’autre tout ce qui est de mon cheminement, de mes difficultés et de mes résonances au monde.
v Exercices pour travailler l’authenticité :
Ø ''Exercices pour travailler l’authenticité :''  '''Expérimenter la congruence''' 
Convenir d’une situation et d’une même phrase que chacun aura à dire dans ce contexte.
Ø '''Prendre sa place''' 
Se mettre par deux debout l’un en face de l’autre.
Il exprime alors comment il se sent.
Variante :
· Se mettre en mouvement en même temps et trouver une distance adéquate pour les deux.
''Variante :''
 
Se mettre en mouvement en même temps et trouver une distance adéquate pour les deux.
 
 
'''Ressentir la justesse corporelle'''
Ø Ressentir la justesse corporelle
Faire un jeu de rôle avec une personne à qui j’ai envie de dire non.
Tester le ressenti corporel, pour moi et pour lui, quand je m’exprime à partir de moi et quand je parle sur lui.
''Variante :'' · Vivre le jeu de rôle debout en silence et expérimenter comment faire passer mon « non » à l’autre, en conciliant ma congruence avec l’ouverture à ses réactions.
Ø '''Exprimer mes résistances''' 
Faire un jeu de rôle avec une personne avec laquelle j’ai du mal à m’affirmer et lui parler authentiquement.
Quand je suis au clair sur ma difficulté, m’avancer et l’exprimer.
''Variante :· Chercher un mouvement correspondant le mieux à chaque besoin que j’exprime. Tester les mouvements que me proposent des observateurs.''
Chercher un mouvement correspondant le mieux à chaque besoin que j’exprime. Tester les mouvements que me proposent des observateurs.
 
 
'''Traduire ma vulnérabilité'''
Ø Traduire ma vulnérabilité
Trouver les situations où j’ai du mal à exprimer ma vulnérabilité : dire une appréciation, faire part de l’amour que j’éprouve pour eux à mes proches, parler de mes peurs ou autre.
v Deux petits exercices généraux :
Ø '''''Deux petits exercices généraux :'''''  '''Jeu pour enrichir le vocabulaire CNV''' 
Créer un dialogue, avec la consigne d’employer la CNV, mais sans avoir le droit d’utiliser les mots récurrents quand nous parlons « en CNV ».
Ø '''Présentation de la CNV''' 
Présenter la CNV au reste du groupe, en moins de cinq minutes, en étant très attentif à ma rigueur dans l’énoncé des faits et à lier ce que je dis à mon expérience.
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