Auto-empathie: moments favorables
Le soir avant le coucher, pour poser ma journée
Pendant la nuit, si j’ai la chance d’avoir une insomnie
Au matin avant de me lever, aussi pour célébrer
Avant ou pendant les repas
Dans mes moments de solitude
Dans le trajet vers mon travail et de retour de mon travail
Dans tous les temps masqués : dans un embouteillage, dans une file d’attente, avant un rendez-vous, quand l’ordinateur s’allume, quand une machine se dérègle, etc.
Dans tous les moments de transition
Quand j’entends un son me servant de rappel : chant d’oiseau, bruit de cloche, etc.
Avant un événement impliquant : examen, parler en public, etc.
Durant une activité artistique
Quand je ne me sens pas bien, une énergie lourde
Quand je suis déconnecté de mon environnement
Quand je commence à croire à mes jugements
Quand j’accepte une étiquette
Quand je suis enfermé dans mes croyances
Quand je fais des comparaisons
A tous les moments où je suis stimulé
Quand je réalise un état de stress en moi
Quand je mets mon attention sur quelque chose à faire
Quand je prends le soin d’écouter mon corps
Quand j’accomplis les petits gestes de la journée : quand je me lave les dents, quand je me passe les mains sous l’eau, etc.
Après l’orgasme
Quand je me surprends à ressasser
Quand je n’arrive pas à entendre ce qui se dit
Quand je suis avec quelque chose que je ne comprends pas
Quand j’éprouve une émotion forte : fâché, contrarié, plein d’appréhension, triste, etc.
Quand je m’ennuie
Quand je ressens de l’impatience
Quand je suis mal à l’aise
Quand je suis en colère contre moi
Après un moment intense de joie
Quand j’écoute quelqu’un d’autre
Régulièrement dans la journée pour ne pas accumuler de bagages inutiles
Idéalement, à tous moments