« Be the change you want to see in the world » (Ghandi)
Comme le colibri, qui fait sa part, et d’innombrables hommes et femmes sur l’ensemble de la planète, j’ai choisi d’apporter ma modeste contribution à l’élaboration d’un monde meilleur. A une époque où l’écologie émerge dans le débat social, il me semble important de prendre conscience que notre rapport à l’environnement est étroitement lié à notre rapport à l’autre, et que nous n’agirons pas sur le premier sans changer le second. C’est mon intime conviction, le sens et le moteur de mon action. Dans « communication non violente », il y a d’abord « communication » : une formation aux techniques journalistiques, en 1988, initie ma carrière en presse écrite et me sensibilise au choix des mots. Dix ans plus tard, en reprenant des études en sociologie, je me familiarise sans le savoir avec la première étape du processus la communication non violente, l’observation purement factuelle. Passionnée par la psychosociolgie, j’enchaîne d’autres formations en ressources humaines, coaching, thérapies brèves. En chemin, je croise la CNV. Une révélation qui me conduit à me former, et finalement à souhaiter la transmettre à mon tour. C’est mon projet, l’objet de ma démarche de certification. Parce qu’elle est tournée vers l’autre, la formation constitue en elle-même le défi de la rencontre : c’est par excellence, un lieu d’écoute, d’ouverture, d’accueil, de reconnaissance et d’évolution. Bien menée, elle offre à chacun la possibilité de se (re)construire une image de soi suffisamment valorisée pour ne plus vivre la différence ou l’inconnu comme une menace mais comme une source d'évolution. C’est aussi ce défi-là qui m’anime.