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Utilisateur:Guilaine Mansion

147 octets ajoutés, 22 août 2012 à 22:49
mise en page
formation pour enseignant, dans l’académie de Charente Poitou. Elle était animée par
Charlotte Duprez Mourman.
 
C’était une formation de 2 jours + 1 journée.
 
J’ai tout de suite adhéré. J'ai vu dans cette approche tout à la fois simple dans sa forme et
profonde dans son essence, un repère pour m'aider à vivre au plus près de mes valeurs.
J'y pressentais un fabuleux outil pour exprimer son humanité dans le pragmatisme de la
vie.
 
J’ai toujours été sensible aux mots et au langage, et les mots de Marshall Rosenberg
résonnaient particulièrement juste en moi. C'est peut-être ce qui m'a amené à choisir de
m'intéresser aux langues "étrangères" , de les étudier puis de les enseigner, pressentant
l'impact qu'elles pouvaient receler pour notre vie. Le langage porteur de lien entre les êtres
humains est une notion qui m'est très sensible.
 
Elle a été renforcée par la vision d'avoir un langage qui sert à échanger non pas seulement
dans une communauté, un pays, mais aussi de manière universelle. J’aime beaucoup cette
conscience d' une forme de langage que tout le monde porte naturellement en soi, quelle que
soit la langue "officielle" parlée.
 
Puis j’ai participé à un stage en immersion à Lyon, pendant 5 jours, animé par
4 ou 5 formateurs qui m'a donné le goût de participer aux ateliers de pratique en Vendée.
 
Le processus était lancé : j'avais plaisir à continuer à découvrir, à côtoyer des personnes
partageant la même sensibilité . C'est plus de 500 heures de formation consacrées à
m'imprégner de cette approche.
 
Mon intérêt, il y avait plusieurs années pour la démarche d'Antoine de la Garanderie
appelée " la gestion mentale" m'avait amenée à m'interroger et prendre en compte le
fonctionnement de l'élève dans la relation pédagogique. La CNV renforçait mon envie de
mettre toujours plus de sens .
 
 
Au début la CNV a bouleversé un peu mes repères surtout dans mon rapport à l'autorité.
Moins de fluidité dans mon expression, hésitations face à certains comportements d'élèves,
un peu de déstabilisation propre au changement.
En même temps c’était une étape.
 
Puis, s'est constitué un groupe d’enseignants dans l'établissement, dont le souhait était
pas seulement "les caïds", mais aussi ceux qui expriment leur souffrance en étant seuls
dans la cour, ou en échec scolaire.
 
S'est fait alors ressentir par le groupe le besoin d'un outil commun pour nous soutenir dans
nos aspirations. J'étais très enthousiaste de proposer cette approche d'écoute parmi d'autres
2 autres ,ouvertes à tous, sur la base du volontariat. Aujourd'hui une cinquantaine de profs
est sensibilisée à la CNV dans l'établissement. Grande satisfaction !!!!!
 
Mon unique collègue d'espagnol a été tout de suite séduite.
  '''Ce que j’ai utilisé en premier dans mes classes, ce sont les cercles de parole.''' 
En 4è , en demi groupe, après avoir donné les règles de fonctionnement, ils s'exprimaient
pour dire comment ils vivaient l’apprentissage de l’espagnol depuis 3 mois. (support)
En début d'année de 3è, pour élaborer un bilan d'apprentissage de leur 1ère année, avec un
questionnement sur ce qu'ils aimeraient apprendre.
 C'était étaient des moments que j'aimais beaucoup vivre : proximité dans le partage, prise en
compte de chaque élève dans son individualité, relation d’égal à égal, mis en lumière de
l'idée de partenariat, de responsabilisation et de créativité dans les stratégies d'apprentissage.
partage, un bilan en classe entière par la pp, des stratégies d'accompagnement. Un
changement s'est opéré : une atmosphère plus posée.
  '''Pour préparer les conseils de classe''' 
Parler de besoins, plutôt que de faire des entrées en terme de "difficultés", : difficulté à
comprendre, difficulté à se concentrer, est plus dynamisant, encourageant, et donne plus
élèves dans des tiroirs, « il est fainéant , précoce, instable, brillant,scientifique, etc"
Intérêt et curiosité des représentants de parents d'élèves.
 
Accepter le retour des élèves sur la manière dont ils vivent un cours
 
Donner cette nouvelle entrée d'évaluation en besoins des apprentissages facilite le dialogue
avec les élèves : passer de la critique aux besoins rassure chacun : les élèves dans leur
espagnol" . Pour moi c'est essentiel de mettre du SENS, de la CLARTE, donc de la
COMPREHENSION et par voie de conséquence de me préserver.
  '''Un congé de formation professionnelle pour se former à la CNV''' Puis j’ai bénéficié d' un congé de formation professionnelle d'une durée de 12 mois, étalés
sur 3 ans. La demande passe par le rectorat, avec motivations, intitulé de formation,
justificatifs de présence mensuels.
 
J ai beaucoup de reconnaissance d’avoir pu bénéficier de ce congé formation. Il a
grandement facilité la mise en oeuvre du processus de certification que j'avais
engagé .J'avais ce qui est le plus précieux à mes yeux : LE TEMPS ; le temps de diversifier
les approches d'animation auprès d'une dizaine de formateurs certifiés, le temps
d'intégration en revivant plusieurs fois les modules de base, le temps de prendre de la
transmission de "cette langue" plus universelle. L'enseignement de l'espagnol devenait trop
"étroite" .
  '''Se donner du temps pour gérer les conflits avec les élèves''' 
Je suis persuadée de l' urgence de se donner du temps, soit avec la classe, soit
individuellement avec un élève, lorsqu'un conflit surgit.
 
Chaque moment d'échange pris avec un élève dans une intention de clarté et de
bienveillance, en ayant à l'esprit que nous allons trouver un moyen pour combler les
situations,à changer quelque chose ; comme si il y avait passage d'une énergie "contre" à
une énergie "avec".
 
Un petit questionnaire pour préparer la rencontre
 
Quand j’ai un souci relationnel ou une envie de mettre du sens sur l'apprentissage en
général avec un élève, je lui donne un petit questionnaire pour poser les choses avant de se
rencontrer :
- *description de ce qui s'est passé- *qu'est-ce que ça a provoqué en lui ?- *de quoi il aurait eu besoin à ce moment-là- *qu'est-ce qu'il peut faire, lui, maintenant ?- *est-ce que moi ou quelqu'un d'autre peut l'aider ? 
Après l'avoir lu, je fixe un moment de rencontre. Je préfère un autre temps que la récré,
trop écourté : un temps d'étude ou de vie de classe en accord avec le prof principal, ce qui
favorise la cohérence et la circulation de l'information.
  '''Prendre le temps de la relation ….''' 
J’entends les profs dire « on n’a pas le temps ». Mais prendre le temps à un moment donné,
fait gagner du temps. "Liant" rime avec "enseignement".
 
Ne serait -ce que leur demander « dites nous ce qui ne va pas, qu’est ce que vous aimez,
qu’est ce qui vous aide à apprendre ? "Toujours en leur donnant "LES MOTS POUR LE
DIRE".
 
Plus un élève perturbe, plus il est perturbé, plus il a besoin d’attention et de cadre
Je reste convaincue de la nécessité de ce temps donné sous la forme d'écoute empathique.
Mon expérience de cette année avec 4 élèves de 4è le confirme.
 
Il me semble essentiel de leur donner des repères clairs, en coopération avec eux parce
que , j'ai pu observé, assez souvent, une relation "bancale" à l’autorité. Je reste surprise
un élève lorsque je lui demande de m'exprimer ce que je souhaite, moi, en tant que prof,
lorsque je viens dans la classe . Un déclic s'est produit . Surprise aussi de l'élève .
  '''Quelques situations''' 
Il y a tellement de situations, je regrette de ne pas avoir le temps de les noter au fur et à
mesure.
 
Avec une maman, représente des parents d’élèves, sans doute un peu pour pouvoir peser
sur les décisions de passage de son fils d’une année à l’autre, et surtout gagner en sécurité
autour de la scolarité de son fils.
 
Elle ne supportait pas l’idée du redoublement d’une manière générale.
 
Lors d'un entretien téléphonique, je me souviens très bien m'être branchée d'abord sur
"écoute empathique",pour entendre ses doutes, ses craintes,son besoin d'être rassurée dans
dans sa capacité à apprendre. Elle a accepté le redoublement. J'ai entendu l'année suivante
cet élève me dire, avec le sourire, que ça se passait bien pour lui.
 
Me remémorer cette petite phrase d'un élève de 4è dans ma fonction de prof principale « ah
vous, vous savez parler aux élèves » fait partie des sésames dans des moments de
découragement et malaises dans la relation.
 
Cette situation aussi : réunion de parents en début d’année, je me souviens avoir pris du
temps avant pour me brancher sur mes intentions : je me sentais très sereine ; j'avais passé
clarifier, quelque chose à dire, à faire, j'utilise la trame : les 4 points/repères sont là.
C’est tellement clarifiant, tellement structurant pour chacun des interlocuteurs
. '''Ca m’apporte une affirmation bienfaisante''' 
Cette année (2011-12),particulièrement, 3 groupes sur 5 s'annonçaient d'une gestion
"délicate" : surcharge d'effectif (30 élèves), association "explosive" d'élèves étiquetés
favorable aux apprentissages : beaucoup de situations à faire évoluer pour apprendre et
enseigner avec plaisir.
 
Quand je me sens mal à l’aise, je m’assois, je me pose, je prends du papier, et je fais
OSBD, qu’est ce que je veux ? Qu'est-ce qui se passe exactement ? qu’est ce que je mets
en place ?
 
Il m’arrive aussi en début d’année, de prendre un temps pour redéfinir« qu’est ce que je
veux vraiment vivre cette année dans ma posture d'enseignante ?» C'est l'écriture qui
ça me donne l’énergie pour aller au bout de ce qui m'est possible de réaliser, sur le moment.
Pour m'approcher de ma vision d'enseignement idéale.
 
Je sens quand je suis alignée ou pas , quand mon ton de voix est juste ou pas lors d' une
répartie avec un élève, une gestion de cours : l'effet est immédiat ; la transformation de
Les élèves ont besoin d’un adulte qui va poser des limites tranquillement et fermement. Ils
ont besoin de sens, ils ont besoin de cadre.
 
Avec 4 élèves « perturbateurs »,
constat : regroupement d'élèves de 2 classes de 4 è au profil très différent : dans une , un
Autre constat , défavorable, à mes yeux : 2 heures de langue sur 3 en dernière heure de la
journée.
 
Résultat : beaucoup de dispersion, peu d'acquisitions pour certains, gêne pour les autres,
épuisement pour moi : fréquents arrêts pour rappeler le cadre , effet "d'alimentation" et
Mon groupe étant unique , je décide de mettre quelque chose en place pour faire évoluer
cette situation.
 En collaboration avec le pp.professeur principal  
3 étapes :
#1- temps de réflexion individuelle pour tout le groupe classe à partir d'une trame (support)#2- bilan collectif (accord général sur le non respect de certaines règles de vie du cours:
concentration, respect de chacun ; les demandes possibles adressées à certains élèves
faisaient apparaître ces élèves sus cités ( la notion de demandes n'implique plus "balances".
#3-rencontre avec ces 5 élèves pour leur présenter le dispositif mis en place en leur
redonnant le sens :
 
a) ils viennent prendre la trame des règles du cours en début de l'heure : support
concret, responsabilisation
 
b) il la remplisse et me la remette en fin de cours
 
c) dans le cas de trop de dispersion donc de gêne pour le groupe et moi-même :
accueil et apprentissage seul dans un autre espace (vie scolaires autre salle de classe, salle
d'étude, toujours en accord avec les personnes concernées : responsable de vie scolaire,
surveillant, professeur principal.
 
d) note des faits sur le carnet de correspondance (mode d'information des parents et
du pp. : transparence, cohérence, clarté, collaboration)
 
Premier cours de la mise en oeuvre : écoute, intérêt, tranquillité de l'ensemble du groupe :
grande satisfaction pour moi et pour un élève qui exprime "ah, oui, là j'ai appris quelque
chose". Je l'ai tout de suite encouragé en notant sur leur carnet de correspondance ce que
j'avais apprécié.
 
Ceci a fonctionné pendant 2 semaines. Je l'ai arrêté lorsque le professeur principal s'en est
inspiré pour instaurer le même principe de suivi pour tous les cours.
perte de repères. J'ai été amené à créer une autre mode de suivi sous forme de rencontres
individuelles.
 
Avec l'un d'eux il a été convenu d'un mini entretien oral à la fin de chaque cours ; accord
mutuel pour fonctionner 2 semaines .A l'issu de cette période, bilan de l'élève : il veut
poursuivre :"ça me structure" explique-t-il à sa prof. principale.
 
Je suis convaincue que plus un élève donne des signes de non attention, de non intérêt, plus
il a besoin d’attention, de repères, de cadre, bienveillant évidemment, en lui redonnant le
sens.
 
Je reste étonnée et stimulée de cet impact.
 
Je me souviens de la demande de l’un d’eux dans le bilan écrit, dans la colonne : que
voulez-vous demander au prof ? " plus d’écoute".
 
C'est assez clair pour moi : dans sa représentation de l’adulte, de l’autorité, l'élève lui
demande plus d’écoute .C'est déjà une forme de valorisation.
 
L’écoute à ce qu'on vit , n'est-il pas le plus beau cadeau que l’on puisse donner à
quelqu’un ?
 
En fait, j’ai juste prêté une attention particulière à ces élèves.
 
Ces élèves existaient à mes yeux , par cette attention et non par les savoirs en langue
étrangères.
  '''Evolution dans ma manière d’enseigner''' 
Mon enseignement va de plus en plus vers l’autonomie, et je suis agréablement surprise du
résultat, parfois, même dans des groupes "difficile"…. , quand je prends le temps de donner
le sens : je donne le cadre, des consignes très claires.
 
J’ai expérimenté le fait qu’ils se choisissent pour former des groupes pour travailler à 3 ou
à 4.
 
Je leur ai demandé de se choisir dans la mesure où c’était aidant pour eux, et que s’ils ne
se sentaient pas à l’aise pour choisir, de crainte de voir l'association dévier de l'objectif ,de
me le signaler : 3 élèves m’ont dit, « je ne veux pas décider, car je sais que je vais aller avec
elle et que je ne vais pas travailler »
 
Dans le cas où ils n'ont pas accès à leur capacité de se donner leurs propres limites, c'est
moi qui la donne. Ce qui me semble important c'est l'expérimentation. 3 élèves au même
profil forment un groupe . Avertissement de ma part : « vous croyez vraiment que le fait de
vous mettre ensemble va vous aider ? »
 
Ils m’ont répondu « vous savez c’est plus facile d’être avec quelqu’un du même niveau que
soi. Quand les autres vont plus vite, on est dépassé »
 
Moi de l’extérieur, j’aurais tendance à créer des groupes avec des niveaux variés.
Dans ce cas là, je suis plus attentive à ce groupe là, je reviens plus souvent, car la tendance
à digresser était forte. Je repose la limite « si vous avez du mal à travailler, c’est moi qui
vais décider »
  '''Eviter l’épuisement..''' 
Je me sens parfois limitée par la structure, l'organisation, les habitudes de fonctionnement :
j'aimerais développer un confort de temps dans un cours avec une plage d'1H30 ; faciliter
élèves non disponibles momentanément à l'apprentissage (gain d'énergie et de plaisir),
organiser des groupes de besoins, du tutorats entre élèves.
 
Face à cela, je suis davantage capable de repérer mes limites et poser des choix plus
adéquats pour moi, ceci me donne une forme de tranquillité: ce fut le cas cette année lorsque
me suis sentie à l'aise en me donnant une pause (sous forme d'arrêt de travail) pour prendre
de la distance et éviter l'épuisement.
 
Aider une classe à retrouver une ambiance agréable et une dynamique de travail
Début du deuxième trimestre : une classe recherche un professeur principal pour remplacer
celui qui vient de partir en congé maternité.
 
Peu d'enthousiasme à pourvoir ce poste dans l'équipe professoral . Malgré la multiplicité
des tâches qui m'incombent cette année : animation cnv de 2 groupes, déménagement,
avancées. Bilan individuel noté sur le carnet de correspondance de la moitié des élèves
chacune.
Processus qui requière requiert du temps : du temps pour rencontrer les élèves, de concertation
entre nous, beaucoup de clarté dans notre manière d'appréhender les situations, d'expression
des appréciations d'élèves.
 Jusqu'ici ça fonctionne : quelques progrès. Le frein : l' influence de Paul qui
gangrène le groupe, nous alertons, avertissons des faits les responsables ; d'autres garçons
sont dans l'imitation de ses attitudes pour se faire accepter par le groupe, dépassement de
respecté" ou NR pour "Non Respecté". Progrès au départ ; perte, oublis de la fiche . . Cette
élève sera finalement exclu du collège 2 semaines avant la fin de l'année.
 
D' d'autres éléments se conjuguent et contribuent à ralentir l'efficacité du processus vers une
autre dynamique :
- *temps de réactivité des responsables trop long ; de notre binôme aussi parfois.- *différence avec ma collègue dans la façon de mener la prise de parole- *besoin de poser des limites plus claires en terme de temps d'expérimentation d'un
suivi, d'échelle dans les sanctions avec cet élève.
- *lassitude de ma part et de ma collègue : presque chaque jour des faits nouveaux à
gérer dans cette classe et les autres; effet d'accumulation
- *besoin de plus d'ouverture pour explorer des solutions nouvelles face à certaines
situations ; ex: reconsidérer la constitution d' un groupe "conflictuel", en répartissant
quelques élèves, parfois un seul suffit dans une autre classe.
- *faire évoluer la vision "d'exclusion" d'un élève de l'établissement : vue, non
comme rejet mais comme une protection pour les autres et lui-même (éviter l'escalade), une
opportunité de changement et d'évolution. C'est mon avis dans ce cas-là.
- *perte importante de repères des élèves dans la gestion de cours et la relation aux
profs pour cette classe (déplacements, tricheries, contestations : deux professeurs en grande
difficultés relationnelles et impuissance à les soutenir.
 
Mon constat : satisfaction de voir ma perception juste de ce groupe dès le début de
l'année et frustration de ne pas avoir été entendue ; besoin d'accepter mes propres limites
de communication, de cohérence dans une tâche menée en commun ; faire le deuil de la
"magie" qui n'est pas au rendez-vous dans tous les groupes .
 
Les repères que donne la CNV, c’est une efficacité et une clarté pour la mise au point
ça ça me permet de m’affirmer, de savoir ce que je veux, ce que je demande, d’impliquer les
élèves
 
{{Fichier|pdf|bilan avant conseil de classe 3è 2009.pdf|Fiche bilan élèves avant conseil de classe}}
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