Au-delà du bien et du mal : Différence entre versions
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« ''J’ai d’abord rencontré Marshall Rosenberg quand j’ai été envoyé par un journal local pour couvrir un de ses ateliers de formation en "Communication NonViolente". Mal à l’aise avec les inégalités dans le monde et impatient que ça change, je ne pouvais pas imaginer à quoi pourrait servir une technique de communication dans la résolution de problèmes comme le réchauffement de la planète ou la dette des pays en voie de développement. Mais j’ai été étonné par l’effet visible que le travail de Rosenberg avait sur des individus et des familles prises dans un conflit. | « ''J’ai d’abord rencontré Marshall Rosenberg quand j’ai été envoyé par un journal local pour couvrir un de ses ateliers de formation en "Communication NonViolente". Mal à l’aise avec les inégalités dans le monde et impatient que ça change, je ne pouvais pas imaginer à quoi pourrait servir une technique de communication dans la résolution de problèmes comme le réchauffement de la planète ou la dette des pays en voie de développement. Mais j’ai été étonné par l’effet visible que le travail de Rosenberg avait sur des individus et des familles prises dans un conflit. | ||
Version actuelle datée du 19 mai 2013 à 19:01
Une Interview par D. KILLIAN, dans The Sun, février 2003 :
Beyond good and evil - On creating a NonViolent world - Marshall ROSENBERG 
« J’ai d’abord rencontré Marshall Rosenberg quand j’ai été envoyé par un journal local pour couvrir un de ses ateliers de formation en "Communication NonViolente". Mal à l’aise avec les inégalités dans le monde et impatient que ça change, je ne pouvais pas imaginer à quoi pourrait servir une technique de communication dans la résolution de problèmes comme le réchauffement de la planète ou la dette des pays en voie de développement. Mais j’ai été étonné par l’effet visible que le travail de Rosenberg avait sur des individus et des familles prises dans un conflit.
En Communication non violente, ou CNV, il y a quatre étapes : observer ce qui arrive dans une situation donnée ; identifier ce que l’on ressent ; identifier ses besoins ; et ensuite formuler une demande pour ce que l’on voudrait voir arriver. Cela semble simple, cependant c’est plus qu’une technique de résolution de conflit. C’est une façon différente de comprendre la motivation et le comportement humains. [...] »
(traduction Dieudonné Dard)
P.-S. Pour la suite de l’article, dans les deux langues, et sur deux colonnes, voir ce document :
et aussi la dernière partie ici : Au-delà du bien et du mal (suite et fin) (accès via l'espace privé de SPIP — inscription libre — car cette partie de l'article n'était pas mise en ligne par la publication The Sun).
Toutes les remarques, tant sur le fond du texte, que sur la forme de la traduction, sont les bienvenues en partie discussion !
Liens externes[modifier]
Article publié initialement sur cette page :
- http://nvc-europe.org/SPIP/Au-dela-du-bien-et-du-mal , le 20 octobre 2004
