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Marshall Rosenberg/Sous-titres vidéo 2

5 octets ajoutés, 7 décembre 2009 à 12:39
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Bon j’ai su répondre à ce besoin mais ça en a contrarié un autre.
D’accord, alors comment je fais pour satisfaire les 2 ? Si je regarde en termes de besoin, je suis bien plus à même d’apprendre sur mes propres limites sans perdre le respect de moi-même.
Dans notre formation, nous suggérons de regarder les causes des états comme la dépression. Nous l’approchons d’une autre manière que de croire qu’il y a quelque chose en nous qui cloche, qu’il y a une maladie mentale. On a des raisons de s’inquiéter sur ce concept de maladies mentales. On pense que certaines personnes qu’on dit avoir une maladie mentale, ont des problèmes physiques qui affectent leur organisation mentale, leur physiologie donc ils pensent qu’ils sont ce qu’ils ne sont pas ou ils pensent qu’ils sont attaqués alors que non. Et ça peut être généré par des disfonctionnements physiques et je ne les appellerai pas des maladies mentales, je dirais qu’ils ont un déséquilibre neurologique ou chimique par ex. {{rouge|[Ca Ça représente un petit pourcentage de personnes qui ont ce type de problème = (cf. 3 :11)]}}.
Pour les autres, c’est un terme scientifique mal employé. Ca donne l’impression qu’ils ont quelque chose qui ne va pas en eux.
Ceci contribue vraiment à la dépression et aux sortes de violence qu’il y a sur la planète. Notre compréhension, en CNV, c’est que les gens sont déprimés, très déprimés par le conditionnement qu’ils ont reçu sur leur façon de penser. C’est comme ça qu’ils sont éduqués à penser et ils se retrouvent coincés dans cette façon de penser et la dépression en est le résultat. On ne le considère pas comme une maladie, on essaye de leur faire prendre conscience de « Qu’est ce que tu dis qui te rend si déprimé ? » Et après on leur montre que ce que tu te dis, le jugement que tu t’attribues, survient parce que tes besoins n’ont pas été satisfaits et malheureusement on n’a pas été éduqué pour être connecté aux besoins donc quand ton besoin n’est pas satisfait, tu vas dans ta tête et tu commences par t’accuser, avoir honte de toi-même, t’attaquer et la dépression est le résultat inévitable dû à ce que tu penses de toi-même. Donc on apprend à transformer les pensées qu’on a de soi dans un langage d’amour. Si tu dis « Je ne devrais pas être déprimé, y a quelque chose qui ne va pas chez moi puisque je suis déprimé », c’est l’idée qu’on donne aux gens en leur disant qu’ils sont malades mentaux quand ils sont déprimés ou bipolaire.
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