Dominic Barter/Sous-titres vidéo 1 : Différence entre versions
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Version du 24 novembre 2009 à 10:14
Texte brut. Entretien avec Dominic Barter Qu’est ce qui te motive à partager le travail que tu fais? Je crois que, depuis quelques années, beaucoup de pays et de communautés ont découvert que leurs structures actuelles pour gérer les conflits que ce soit dans le système judiciaire, ou dans les écoles, dans les communautés locales ou en famille ne fonctionnent pas aussi bien qu’ils aimeraient. Ils ne renforcent pas assez le sens de communauté Les coûts humains accroissent, Et les gens ne se sentent pas davantage en sécurité dans leur communauté. Partout où les gens ressentent ceci, je reçois des invitations, Et les gens expérimentent les pratiques réparatrices. Donc je me réjouis de venir en Allemagne, Il y a de plus en plus de gens là-bas qui cherchent des alternatives non-violentes aux façons dont nous répondons actuellement à la criminalité et aux conflits. Comment un homme du Nord de Londres en arrive à travailler au Brésil, avec la justice réparatrice ? Je suis allé au Brésil pour la première fois en 1992 Et j’étais tout de suite frappé par les mêmes choses qui Frappent Preque toute personne arrivant au Brésil pour la première fois Par la beauté incroyable de la nature, Par la manière dont les gens là-bas célèbrent la vie, Mais aussi par la disparité entre ceux qui ont accès à la richesse et ceux qui n’ont pas accès Et par le très grand degré de tensions et de violence sociales que j’ai rencontré pendant que j’étais là-bas. C’était très dur de vivre là et d’accepter que les choses étaient ainsi et ne pouvaient pas changer. Donc, peu à peu, avec le passage des mois, j’ai commencé à chercher différentes façons de m’instruire sur cette situation afin de peut-être apprendre comment je pouvais contribuer. Pendant plusieurs visites dans les années ’90, j’ai commencé à avoir des contacts avec les gens et à connecter différents projets dans les bidonvilles et à m’éduquer sur cette réalité sociale et suivre des indices, et quand des gens ont commencé à m'inviter pour faire différentes choses, j'ai trouvé de façon régulière, où j'étais engagé dans l'histoire et la description de leur conlits, où le travail que l'on faisait avait une incidence sur ces conflits... |
Adaptation (en cours) vers ".srt" via Jubler1 00:00:00,000 --> 00:00:00,508 . 2 00:00:01,054 --> 00:00:03,978 Un Entretien avec Dominic Barter 3 00:00:04,095 --> 00:00:09,907 Qu’est ce qui te motive à partager ton travail ? 4 00:00:10,200 --> 00:00:12,647 Je crois que, depuis quelques années, 5 00:00:13,069 --> 00:00:16,070 beaucoup de pays et de communautés ont découvert 6 00:00:16,220 --> 00:00:19,151 que leurs structures actuelles pour gérer les conflits 7 00:00:19,285 --> 00:00:21,258 que ce soit dans le système judiciaire, 8 00:00:21,451 --> 00:00:25,084 ou dans les écoles, dans les communautés locales ou en famille 9 00:00:25,545 --> 00:00:27,970 ne fonctionnent pas aussi bien qu’ils aimeraient. 10 00:00:28,143 --> 00:00:33,041 Ils ne renforcent pas autant le sens de la communauté qu'ils le voudraient. 11 00:00:33,302 --> 00:00:35,925 Les coûts humains accroissent, 12 00:00:36,043 --> 00:00:39,688 Et les gens ne se sentent pas davantage en sécurité dans leur communauté. 13 00:00:40,188 --> 00:00:43,214 Partout où les gens ressentent ceci, 14 00:00:43,251 --> 00:00:46,801 je reçois des invitations, et les gens expérimentent 15 00:00:47,001 --> 00:00:48,543 les pratiques réparatrices. 16 00:00:48,771 --> 00:00:50,689 Il y a de plus en plus de gens là-bas 17 00:00:50,726 --> 00:00:53,055 qui cherchent des alternatives non-violentes 18 00:00:53,691 --> 00:00:55,473 aux façons dont nous répondons actuellement 19 00:00:55,510 --> 00:00:57,510 à la criminalité et aux conflits. 20 00:00:58,010 --> 00:01:03,557 Comment un homme du Nord de Londres en arrive à travailler avec la justice réparatrice au Brésil ? 21 00:01:04,275 --> 00:01:08,314 Je suis allé au Brésil pour la première fois en 1992 22 00:01:08,814 --> 00:01:12,240 Et j’étais tout de suite frappé par les mêmes choses 23 00:01:12,249 --> 00:01:15,148 qui frappent presque toute personne arrivant au Brésil pour la première fois 24 00:01:15,157 --> 00:01:18,092 Par la beauté incroyable de la nature, 25 00:01:18,319 --> 00:01:24,454 Par la manière dont les gens là-bas célèbrent la vie, 26 00:01:24,686 --> 00:01:28,471 Mais aussi par la très extrême disparité 27 00:01:28,753 --> 00:01:32,552 entre ceux qui ont accès à la richesse et ceux qui n’ont pas accès 28 00:01:32,834 --> 00:01:38,434 Et par le très grand degré de tensions et de violence sociales 29 00:01:38,454 --> 00:01:40,682 que j’ai rencontré pendant que j’étais là-bas. 30 00:01:41,346 --> 00:01:46,418 C’était très dur de vivre là et… 31 00:01:46,918 --> 00:01:50,983 d’accepter que les choses étaient ainsi et ne pouvaient pas changer. 32 00:01:51,347 --> 00:01:55,951 Donc, peu à peu, avec le passage des mois, j’ai commencé à chercher différentes façons 33 00:01:56,069 --> 00:01:59,212 de m’instruire sur cette situation 34 00:01:59,358 --> 00:02:03,799 afin de peut-être apprendre comment je pouvais contribuer. 35 00:02:04,081 --> 00:02:07,574 Pendant plusieurs visites dans les années ’90, 36 00:02:07,883 --> 00:02:10,020 j’ai commencé à avoir des contacts avec les gens 37 00:02:10,193 --> 00:02:14,098 et à connecter différents projets dans les bidonvilles 38 00:02:14,244 --> 00:02:17,922 et à m’éduquer sur cette réalité sociale. |