Paradigmes de la non-directivité : Différence entre versions
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Version du 30 mai 2010 à 21:11
Sommaire
Paradigmes
- La non-directivité est basée sur une confiance dans les moyens de chaque individu, pour autant que son environnement soit suffisamment favorable.
- On agit donc sur l'environnement et non sur les personnes.
- Nécessité d'une richesse de l'environnement : espace, moyens, temps, disponibilité, informations (la pauvreté de l'environnement amène automatiquement à des formes de directivité).
- L'attention est mise avant tout sur la satisfaction des besoins de chacun, et non sur les stratégies.
- Nécessité d'un certain niveau de conscience et de prise de responsabilité. Plus haut est le niveau de conscience et plus haut est la prise de responsabilité (interdépendance entre les deux).
- En cas de difficulté, on change les règles du jeu ou on propose de nouveaux rôles.
- Fonctionnement par consensus (attention aux besoins)
- on procède par sondages réguliers
- pas de votation(1) (propre aux systèmes directifs).
- Il y a, dans les situations importantes, primauté de l'individu sur le groupe, dans la conscience de notre interdépendance.
Commentaires
La conscience de notre impuissance est très aidante
Références
La première version de ce document était une feuille reçue de Jean-Philippe Faure au cours d'un atelier sur la non-directivité, à La Picotière en 2003 (ou 2004 ?).
Notes
(1) vocabulaire suisse pour décision par vote -- NDT
